Mes Secrets :

Connaitre le bonheur d'être un esclave, d'obéir et de te soumettre !!

L’ivresse du plaisir, l’euphorie de l’excitation, la félicité d’une passion…

 

Oui Maitresse !

Sensation d’irréel et de légèreté qui l’habite au lendemain de notre première rencontre. Images saccadées qui se succèdent dans sa tête, et qui lui font revivre les sentiments contradictoires vécus la veille. Cette gêne, ce malaise qui l’envahissait et son sexe qui se plaisait à trahir ses envies. Cette crainte qui se transformait parfois en peur véritable et ses mamelons qui s’amusaient à dévoiler son excitation… Consentement muet… Consentement inconscient et instinctif… il était consentant malgré lui. Son corps s’offrait tout entier alors que sa raison le torturait.

En compagnie de la Maitresse, intimidé par cette Femme, parce qu’il sait qu’Elle n’aura aucune difficulté à exercer son Emprise sur lui. Maitresse qu’il redoute parce que conscient de ne pas être à la hauteur, lui si novice et néophyte en matière de soumission. Il sait qu’il doit obéir et qu’il ne peut plus faire marche arrière… d’ailleurs est-ce qu’il en aurait envie ? L’idée en elle-même l’effraie mais paradoxalement l’excite au plus haut point. Tout devient prétexte à la mouille qui coule de son sexe.

Il obéit sur le champ en espérant que son obéissance saura susciter une vague de sympathie ou une quelconque clémence à son égard. Quelques coups de cravache lui indiquent de rester immobile et docile. De nouveaux coups moins suaves et pourtant il se surprend à les préférer aux précédents… Légers pincements sur ses fesses et sur ses cuisses qui l’excitent terriblement. J’y vais de recommandations très claires et non-négociables : « A l’avenir tu Me vouvoies en tout temps et le « Maitresse » est de rigueur, compris ?! »

Sa voix restée muette depuis un moment est inaudible : « Oui Maitresse » Un coup plus dru sur son cul « Plus fort que ça! »; le rend instantanément obéissant : « OUI MAITRESSE ! ».

 

À Mes Pieds !

La Main qui effleure ses fesses et qui palpe ses seins est Douce et Chaude… il s’abandonne facilement à Mes Caresses. Il a beaucoup de mal à se donner une contenance, il se sent fiévreux… d’ailleurs la lave coule de son sexe… Je M’amuse à attiser son envie, frottement de Ma Robe de cuir sur ses fesses contribuant à accentuer son désir.

Le faire s’agenouiller devant Moi, le réduire à lécher le cuir de Mes Souliers. Avant même que Je ne l’exige, il se redresse. Ma Réaction est Immédiate et Froide :« Je t’ai demandé d’arrêter? » Malaise soudain qui s’empare de lui. Sentiment de culpabilité qui s’installe au creux de sa gorge… regard fuyant qui, illico fixe le sol… « Pardon Maitresse ». Silence… Silence interminable. Lui faire connaitre le regret, la gêne et l’embarras. Lui ordonner de continuer et de faire briller avec sa salive. Lui ordonner de retirer Mes Souliers, et de prendre soin de Mes Pieds.

Résigné à Me montrer toute sa reconnaissance, utilisant sa bouche et sa langue à cette fin, sans mot dire… qu’en salive et en succion… en caresses buccales et en aspirations… Délectation de ses papilles.

 

Au lendemain...

Au lendemain il entreprend d’écrire d’aussi grandes sensations. Il écrit pour faire perdurer le plaisir, pour que reste intact le souvenir.

Au lendemain de cette première rencontre, il prend déjà conscience de son Appartenance… de l’Emprise et de l’Effet que J’ai sur lui… de l’Excitation que Je suscite en lui… de l’Omniprésence que J’ai dans ses pensées… de tout le Plaisir que Je provoque dans sa chair… Au lendemain il ne fait rien, sinon que de se remémorer et de se masturber dès qu’il en a l’opportunité.

 

Convoqué au Donjon

Un appel de la Maitresse pour le convoquer au donjon. Un appel bref et concis lui expliquant Mes Attentes. Il Me souligne qu’il ne pourra pas rester très tard parce qu’il doit se lever tôt le lendemain matin… J’entends encore le timbre de Ma Voix quand Je lui ai répété : « tu ne PEUX PAS rentrer tard ?! Je n’aime pas ta formulation de phrase. JE décide de ce que tu peux ou ne peux pas faire… Tu ne crois pas qu’il serait plus juste de dire qu’il serait PRÉFÉRABLE que tu ne rentres pas trop tard ?? » Sa réponse est bien celle que J'attendais : « Oui Maitresse » Un sourire se dessine inévitablement sur Mes Lèvres : Ca y’est il bande !

Il doit admettre qu’il est très excité à l’idée de Me revoir. L’anxiété le gagne au fur et à mesure que défilent les kilomètres… qu’est-ce qui l’attend ? que va-t-il se passer ? Toujours affolant d’avancer vers l’inconnu… Il n’est pourtant pas du genre à s’aventurer… parfois les pulsions sexuelles, le désir de quelqu’un vous amène à faire des folies. Mmmm... Quelles folies va-t-il commettre ce soir ? Son âme est en déroute… Sur une autoroute quelconque qui mène vers un lieu inconnu qu’il ne connait pas mais dont l’Adresse est inscrite sur un bout de papier.

C’est la gorge sèche qu’il se présente chez sa Maitresse. Aussitôt entré deux seuls mots pour l’accueillir : «  Déshabille-toi ! » Je le revois dans l’embrasure de la porte; la gêne au même titre que la honte fait baisser les yeux. Son regard rejoint le sol tandis qu’il se dénude devant Moi. Il laisse glisser son pantalon… Je lui fais signe de s’approcher, lui bande les yeux et le fais s’asseoir parterre. Il est là, complètement nu et aveugle. Amputé de sa vision il est plus attentif aux bruits, aux sons, à la musique qu’il entend, à la froideur du plancher,  aux odeurs parfumées qui habitent l’endroit. Coupé de la vue, il est également plus concentré sur le moment présent… son regard lui permettant de prévoir à tout le moins quelques minutes à l’avance la suite des événements. Privé de ce sens tous les autres prennent une toute autre dimension. Son sexe gagne en excitation et prend de l’expansion.

Il sent Ma Présence. Il sait que Je suis à proximité. Il reste immobile au sol et sa nervosité est visible. Je savoure. Puis, Je lui ordonne de se relever, il entend les cliquetis des attaches… Il demeure passif tandis que Je l’enchaîne. Les bras suspendus et les jambes largement ouvertes, il ne peut pratiquement plus bouger.

Les lanières de cuir se promènent doucement sur ses fesses….contacts et caresses du fouet sur sa peau… quelques coups presque tendres, les lanières déambules sur son cul… il apprécie de plus en plus chacune des fois où le fouet se rabat sur son fessier. Je M’amuse à alterner les coups et les caresses, combinaison sensuelle qui excite.

Défaire les liens qui maintenaient ses bras soulevés, cadenasser ses poignets ensemble et lui ordonner de se pencher vers l’avant. Introduire un Doigt dans son anus. « Un bon soumis offre son cul à sa Maitresse. »  Devant toi un butt plug, condom et lubrifiant, Je veux que le plug soit bien insérer dans ton cul à Mon Retour. » Je disparais, le laissant seul au centre de la pièce avec le plug qu’il doit s’introduire. Pourquoi est-ce si humiliant de s’enculer soi-même?
L’étroitesse du canal et les mains liées l’une à l’autre lui rend la tâche plus complexe. Il se plie, se penche, puis enfonce difficilement le truc dans son cul. Dès qu’il relâche l’objet ressort. Il se contorsionne de façon à le maintenir en place avec ses mains. À Mon Arrivée Je M’approche et lui enfonce véritablement à sa place pour qu’il ne ressorte plus. Il a le cul bourré et il a honte.

La Maitresse s’affaire alors que le déshonore l’envahit. « Penche vers l’avant ». Il s’incline docilement, prenant appui sur un meuble. Je M’approche et active le mécanisme de vibration du plug. D’abord faiblement, puis plus intensivement… Il n’aime pas particulièrement sentir cet intrus dans son intérieur, pourtant quelques minutes plus tard il se ravise : plutôt agréable comme sensation finalement… Il gémit malgré lui.

 

Soumission

Un long moment passé, Moi assise dans Mon Fauteuil et lui à même le sol. Après cette rencontre il a l’impression d’avoir encore plus d’Admiration pour sa Maitresse… Sa façon bien à Elle d’aborder et d’exercer la Domination le fascine. Au moment de Me demander s’il pouvait s’asseoir sur une chaise, Ma Réponse fût brève : Non. Sa surprise de recevoir un non. Un non sans explication, sans justification, sans raison connue. Habituellement les gens qui refusent ou contestent poursuivent en déblatérant toutes sortes de raisons plus ou moins véritables. Maitresse se contente de répondre non.

Un peu plus tard Je lui signifie que ce serait une très mauvaise habitude qu’il prendrait de s’asseoir sur les meubles. Il ne peut qu’acquiescer à Mes Propos, il sait que J’ai parfaitement raison, plus il y pense, plus il réalise que J’ai entièrement raison.

Absorbé en pensées, le temps passe plus rapidement et le retour parait court. Des images encore toutes fraîches parsèment son trajet… des brides de phrases lui reviennent, un peu comme des panneaux d’indicatifs que l’on croise sur la route et qui rappellent constamment dans quelle direction nous allons… Il se dirige inévitablement vers une soumission absolue.                                                                                                         

    MA